• absolument rien

     

    POUM !!

     

    Un bruit tonitruant que vous jugerez dangereux, moi je le juge amusant. Cette lumière que vous trouverez brûlante, moi je la trouve chaude et accueillante. Je me lançais, le vent me fouette le visage et je m'écrase... quelle connerie que croire que j'aurais pue voler vers les feux d'artifices qui voletaient dans le ciel telle des missiles, les missiles que l'on voyait tout les jours, sauf ce beau jour, le jours de notre fête national qui était un jour de paix. Nul homme n'a le droit de tuer en ce jour de fête. Je me demande si se tuer est aussi un crime. Toujours est-il que je suis morte, mais je peux parler. Je ne ressens pas de douleur et... je ne me trouve plus dans mon corps. Il suffit d'une simple lumière et un petit crie aigue pour m'effrayer et j'allais me cacher, mais trop tard, la femme m'avait déjà vue ! Elle me regardait, terrorisée, puis un frisant me parcourus l'échine quand un homme... traversa mon corps. C'est vrai j'étais morte après tout. La femme ne me regardait pas moi, mais l'homme qui accourait. La femme et l'homme étaient habillés comme des policiers, et j'en avais vue assez pour savoir que ce n'était pas des imposteurs. J'avais déjà vue la façon donc il réagissait quand il trouvait un blaissé ; il ne le touchait pas, laissant le corps froid et vide de vie gisent par terre, devant une troupe de curieux qui le regarde, à la fois intrigués et horrifiés. Je me sentie gênée alors qu'une foule de spectateur venaient s'attrouper autour autour de moi... ou ce qu'il en restait. J'imaginais déjà l'autopsie. Mon corps nue sur une table, des sadiques en train de farfouiller dans mon corps pour y trouver des preuves que ce n'est qu'un misérable suicide. Honteuse de mon corps déchiqueté, je pars, fini pour moi le spectacle ! Je décidais d'aller trouver l'ange qui m'amènerait à dieu, je crois qu'il a été coincé dans les embouteillages, par-ce-que pour l'instant, j'ai beau chercher, y a aucune trace de lui dans les parages. Du coup je vais lui faciliter la tâche.

     

     

     

    Le soleil pointait à horizon et je commençais à désespérer de trouver un ange dans cette ville... ou dans ce monde d'ailleurs. Un belle homme passait devant moi ; il était habiller de blanc et avait des cheveux blanc coupé à ras. Il avait attiré mon attention à cause de sa grâce. L'homme me passa devant et se retourna vivement vers moi, et s'approcha de me moi et s'assit. Je le dévisageais longuement, sans me gêner, car après tout, il ne peut pas me voir. Je poussais un soupir exaspéré et dis à haute voix « Si seulement j'avais eu un homme aussi beau dans ma vie ! », et je me laissais aller au désespoir quand le mannequin ce tourna vers moi, sourit et me dis « Moi j'aurais bien voulue q'il y aie une femme dans ma vie, mais ce n'est pas grave, je n'ai pas de regrets. ». J'ouvris de grand et lui demandais si il était un ange, et en toute réponse il éclata de rire. Puis je lui demandais si il était réelle et il hocha la tête, et je lui demandai l'ultime question ; « Tu me vois ?... vraiment ? », et l'homme était partie pour un fou rire incontrôlable, puis répondit positivement. Mon air ahurit parue le rendre hilare, mais il ce retint, et dit des plus naturellement possible « Es-tu morte ? ».

     

     

     

    L'homme m’emmenait vers un petit bar au nord de la ville, il m'ouvrit galamment la porte et nous allons nous asseoir à une table. J'étais encore sous le choc d'apprendre que je n'étais pas morte depuis une journée mais bien depuis un ans, que j'aurais hantée mon cartier depuis ma mort, et différentes rumeurs sur moi avait été lancée, car je prenais mon aise à toucher ce qui me faisais plaisir, sans penser au être vivant qui ne pouvait me voir toucher l'object. Je l'avait bombardée de question comme « Alors, me suis-je suicider, fais assassiner ou ai-je glissée ? » ou encore « Ma tante (dernière personne de ma famille) est-elle venue mon enterrement ? » mais avant de poursuivre, il me proposait un café et ce fût comme ça que nous atterrîmes ici. Je m'attendais à devoir voler une tasse de café quand une serveuse pâle comme le diable arrivait, visiblement contrariée d'avoir un client. La femme me demandai ce que je voulais avant de ce tournée vers le mannequin et lui demandai la même chose d'une voix plus sensuel. Nous prîmes tous les deux un café au lait et mon regard désespérément interloquée ne trompait personne, et le belle inconnue y répondit d'une voix qui feintait l'indifférence que cette femme était morte, tout comme moi. Mais une autre question me trottai dans la tête ;

     

    « déjà un : quelle est votre nom ?

     

    -Daniel.

     

    « Mon corps est enterrée ou brûlée à présent ?

     

    -Je ne sais pas, navré, répond-t-il d'une voix ennuyée.

     

    « Y a t-il beaucoup de mort sur cette terre ?

     

    -Oui, mais sur terre il y en a en tout cents cinquante et un, les autres sont aller dans un endroit inconnue, sûrement au paradis, ou en enfer.

     

    « Donc l'enfer existe ?

     

    -Aucune idée, je suppose que oui.

     

    « Et pourquoi je suis restée sur terre moi ?

     

    -A ta mort, ta dernière penser a été destinée à un vivant, tu es donc attachée a quelqu'un ou quelque chose qui ce trouve dans ce monde.

     

    « Comment le sais-tu ?

     

    -Les dernières penser des morts sont écrite sur le corps, mais seul les défunts peuvent voir ce qui y est écrit.

     

    « Comment sais-tu tout ça ?

     

    -Je suis mort aussi un jour, en est tous passer par le même chemin.

     

    Sur ce, il ce levait et enfilait son manteau puis appelait la serveuse et lui chuchotait quelque chose à oreille, et la serveuse souris, en proie à un fou rire.

     

     

     

    Je lui emboîtais le pas tendit qu'il ce dirigeait vers une vieille maison qui devait bien dater du 21ème siècle. Tout un coup, une question me vint ; « La guerre est fini, je n'ai pas vue un seul soldat ni une petite bombe dans les parages ?!

     

    L'homme avait vraiment l'air gêné et il fît mine de ne pas entendre. J'insistai mais rien n'y fît. J’abandonnai. Nous entrâmes dans la maison.

     

     

     

    Cette question m’obséda toute la journée. Le mannequin allait et venait à son bon vouloir, moi je ne faisais rien, j'étais assise sur le tapis toute la sainte journée, et m'amusais a arracher un à un chaque poil du tapis (seul meuble de la maison) avant de les ranger dans un bocal en verre. Je m'appliquais à ne pas penser au mille questions qui me trottaient dans la tête.

     

    « Centième poil enlevé, je vais t'épiler à fond petit tapis, raillais-je, juste avant que le garçon revienne de sa deux-centième balade. Je me lèvais et m'approchais de lui, quand une lumière aveuglante m'obligeais à fermer les yeux, je parvint à entendre une voix masculine qui me dis ; « Tu as une nouvelle chance, le passé t'attends. Et je m'endormais.

     

    -ch 2

     

    Quand je rouvrais les yeux, je vis une lumière aveuglante et entendis un « BOUMM !! » tonitruant à réveiller un mort. Mon corps avançais tout seul, mon visage était un mélange de tristesse et d'émerveillement. J'essayais de m'arrêter mais en vain. Je commençais à paniquer, je me forçais à reculer, je ne voulais pas tomber cette fois... par-ce-que... je... ne pouvais pas mourir, alors que derrière moi, un homme criais mon nom. Cette homme avait une voix merveilleusement grave et mélancolique, digne des dieux. Mais qui étais cette homme, pourquoi m'appelait-il ? Il ne voulait pas que je meurs, alors juste pour une fois, je vais changer mon destin ; je ne vais pas m’aplatir comme une crêpe, par terre ! Il me revint les quelque mot qui avais été prononcés ; « Tu as une nouvelle chance... le passé t'attend. Je compris, j'étais dans le passé, le jour de ma mort, et la voix que j'entends, je ne l'avais pas entendue à cause des feux d'artifices. Tan-pis, j'allais mourir une deuxième fois, j’espérais que cette fois, un ange allais m’emporter. BOUMM !! Un deuxième feux d'artifice monte dans le ciel. Bonne nouvelle, car je n'avais pas vue un deuxième feux d'artifices lors de ma première morts. Des pas attife ce faisais entendre. Je déglutie, j'étais à deux doigts de me jeter. J'essayais d'arrêter mes mouvements, mais je n'y arrivai pas. Je glisse. Trop tard.

     

    Quelqu'un attrape mon corps, me tire, je vis encore. Je vis. Ces mots me faisais l'effet d'une baffe ! Je souris jusqu'au oreilles, et me levais, mais l'homme me retint, l'homme était la copie conforme du... mannequin. Je dégluitie. Le temps s'arrête. Qui est-il ? C'était peut-être un autre ange qui était venue me sauver, qui a échoué lors de ma première mort, ou quelqu'un... que j'aurais connue. Non, je le connaîs, c'est le mannequin ! Son visage était anxieux, il avait lâché des larmes, preuve que ce n'était pas là pour son travaille, mais pourquoi alors, je ne sais pas -ou plutôt « plus »- qui il est.

     

     

     

    « Mélanie, tu faisais quoi là ? Non. Ne répond pas, ne parle plus,ordonna t-il, implorant presque.

     

    Moi je restai là. Bizarrement, je me sentais calme, plutôt que apeurée, une réaction qui aurais été bien plus normal, humaine... non-mort. Je me mis à marcher et me dirigeai vers une pièce de l'appartement. Quand je l'ouvrais, je vis des centaines de photos, de fais divers ou encore de dessins. Des piles de papiers trônaient sur le sol et une fine couche de poussière recouvrait le toute. Intriguée, je m'invitais dans la pièce et j'inspectais chaque endroit à la loupe. Il y avait quelques photos de moi, de la guerre, du mannequin qui s'appelait apparemment Luc (j'avais lue son nom à l'arrière d'une photo le représentent en train de manger au restaurant). Il n'y avait pas d'horloge, et aucune lumière ne filtrait. C'était apparemment ma chambre et j'étais -apparemment- une bien drôle de personne qui -apparemment- enquêtait sûr la guerre. J'étais une révolutionnaire, ce qui me parue bien bête. J'étais jeune. Je le suis toujours. Si telle avais été mon choix de vie, j'allais continuer mon œuvre, je n'allais pas gâcher tout mon travail ! Et je m'y activais.

     

     

     

    Voilà trois jours que je restais enfermer dans ma chambre pour y trouver des information sur ma vie, mes idéaux, pourquoi j'avais sautée. Tout ce que cela m'apris c'est que une guerre c'était déclenchée 1 mois avant ma mort et que j'avais travaillée avec acharnement pour faire tomber un certain « Daniel Clark ». Il était temps que je sorte de la chambre, commençons l'interrogatoire.

     

     

     

    Luc était assis sur un fauteuil, bouche ouverte, il renflait. Je le secouais et il parue surpris de me voir. Je lui souhaitais le bonjour et d'un coup il se réveilla et ce releva droit comme un pique et me criait un bonjour chevretant. Je lui souris et il parue ce détendre.

     

    Je commençais le questionnaire ;

     

    -Qui es-tu ?

     

    Il ouvrait de grand yeux étonnés.

     

    -Je... Luc...

     

    -Pour moi tu es qui, enchaînais-je.

     

    -Je suis ton petit amie.

     

    -Qui suis-je ?

     

    -Mélanie..., répond-t-il bouche B.

     

    -Et je fais quoi dans la vie ?

     

    -Tu es une... communiste.

     

    -Toi aussi ?

     

    -Non, juste ton petit ami- il avait un air sérieux maintenant.

     

    -Qui est « Daniel Clark » ?

     

    -Le présidant que tu essaye de détrôner.

     

    -Pourquoi ?

     

    -Par ce qu'il refuse que la guerre ce termine.

     

    -Pourquoi ce bats t-on et contre qui ?

     

    -Contre le pays « Etoile », pour que la terre et le ciel sois partagés.

     

    -Qu'elle est cette communauté « Etoile » ?

     

    -Des... Dieux.

     

    Il ne mentait pas.

     

     

     

    Je farfouillais dans les fichiers, les journaux et les photos, quand je tombais sur un fais divers intéressant ;

     

     

     

    La guerre est déclarée !!

     

     

     

    Ce matin le peuple des Etoile on déclarés la guerre au terriens. Le Présidant Clark contre-attaque, une première armée a été envoyée à 7:30 du matin. Il n'y a que deux survivant.[...] « Bien que partager notre terre voudrait dire donner ce que l'on a de plus précieux à des barbares, cette guerre est perdue d'avance. »Affirme John Chavolet, politiciens.[...] « Il veulent qu'on aie au front pour nous faire tuer, ils sont fous, ce battre contre des dieux est irraisonnable, on voit que ce ne sont pas eux qui vont perdre leurs vie au front !! » Clame un manifestant.[...] ou encore une mère de famille en larme raconte que son fils était en première ligne et clame avec les manifestant « Le présidant veux-t-il notre mort ? ».

     

     

     

    Je compris pour la première fois pourquoi je voulais faire tomber Daniel Clark.

     

     

     

    Je trouvais des numéros de téléphones cachés dans une latte de plancher avec un pistolet et des balles. Je frissonnais en pansant que j'ai du déjà mon servir, il avait l'air abîmé. Je pris le vieux téléphone entre mes mains et composais le premier numéro ;

     

    -Hallo ?

     

    -Heu... c'est Mélanie.

     

    -Mélanie, ça fais un mois et demi qu'on a plus de nouvelle, en te croyait morte !!

     

    -Pas de panique, -je suis juste morte depuis un depuis un ans- j'ai juste perdue la mémoire et j'ai trouver ton numéro. Alors comme ça je suis...

     

    Elle me coupait.

     

    -Chut. Ne parle pas de ça au téléphone, RDV à Holl street. 15:00.

     

     

     

    Me voilà à Holl street. Il était 14:59. J'avais tournée en rond une heur avant de découvrir l'avenue. Il y avait de haute tour, un petit parc et quelque passant qui à, première vue, étaient des personnes ordinaire, mais peu être qu'ils étaient tous des communistes qui ce battent pour ce qu'ils pensent être juste et bravent, qui en vaux la pêne ! Ce devait être mon sentiment de mon vivant.

     

     

     

    Il est 15:30. La femme que j'avais appelée la veille n'avait pas encore montrée le bout de son nez. Tout à coup un homme au manteau noir m'attrape, me tire fermement dans une petite ruelle et m’assomme, aucun témoin dans les alentours, C'est mauvais.

     

    -ch 3

     

    J'ouvre un œil. Je me sens mal, ma tête cogne, je me lève et je découvre que je suis dans une petite cellule avec une porte en bois. Il n'y a aucun meuble, aucune poussière, aucun bruit. Je me lève, tout mon corps est endolorie. Je m'approche d'une fissure, seul objet à ne pas être gris. Non, la fissure est rouge, rouge sang. Je baisse mon regard et je découvre un ongle. Un angle humain ! Je jette un œil par la gerçure et je vis un bout de textile gris roulé en boule dans un coin et au bout un cadavre. J’eus un haut les cœurs en découvrant le sang qui tapissait le sol. On devinait la une scène de torture. Je fus vite rattrapée par de vieux tique que j'avais eu enfant ; mes doigts ce tordirent en un rictus diabolique, mes paupière ce lèvent et ce baisse et je fus vite victime d'une nausée quand en ouvrir la porte, me tirai hors de la pièce et je perdis connaissance après avoir reçus un coup violant sur la tête.

     

     

     

    Je me réveille en sursaut, une sensation de froid m’envaille, et je me lève pour aller chercher un manteau, en vint, j'ai mains et pieds liés. Je lève la tête, une odeur de sang s'engouffre dans mes narines et je reconnais la fissure qui donne sur mon « ancienne » chambre. Tout a été nétoyé, la sale sens le désinfectant a plein nez. Je vais donc être torturer maintenant ? Non. Je ne peux pas finir comme ça. Je commence à paniquer, je me débats, mais les corde ne ce détache pas. Je vais me lever, je ne peux pas finir comme le cadavre, torturé à mort. Mai qui m'a enlevé ? Un homme, j'en suis certaine.

     

    La porte s'ouvre, je tord mon cous au maximum et scrute l'ennemie. Il me regarde, le sévère. Je voie mes yeux s'ouvrir en grand, et un liquide puant descend le long de ma cuisse. Ses lèvres ce tendirent en un rictus sadique- un sourire. Je commençai à paniquer. Il avait une boîte carrée noir en main, qu'il à terre et ouvrit. J'y découvre des outils ; des espèces de couteau dans tout les coins, de longes tiges de fers, des outils biscornue, tous destinés à me faire cracher le morceaux, mais comme je ne savais ce que je devais « cracher » j'allais mourir, son aucun doute.

     

    Il sortie un couteau de sa poche et m'approche d'un pas assuré.

     

    « Tu sais ce que je veux savoir, alors parle sinon..., dit-il en me balançant le couteau sous le nez.

     

    Je fis un imperceptible « non » de la tête, et son sourir ce transforma en un demi sourir. Il enfença lontement la longtement tige dans mon épaule mais la douleur ne fis pas effais. Il s'arrêta nette quand je lui dis que je ne sentais rien. Puis il parue ressurer. Il enlevait la lame et me lancais :

     

    « J'ai déjà eu bien de victimes qui on sut s'apstenir de cier, mais crois moi, au bout de quelque « bobo », ils ont sue parler.

     

    J'étais à présent totalement détendue. Je le scrutais et lui demandai de quoi en m'accusais.

     

    « Tu le sais. Tu as eu Mia au téléphone hier, et bien sur elle disparais le jour ou vous avez rendez-vous. Je veux savoir ou elle est, ou tu l'as tuer, comment, si c'est le cas ou si tu la rendue à la police.

     

    « Elle n'est pas venue au rendez-vous, seulement un homme en manteau noir.

     

    Il eu un sourire et commençai a découper mon corps. Au bout de quelque coup une douleur comparable à celle d'une griffure m’atteins à la cuisse droite. Une petite douleur, mais avant je ne sentais rien, je feignis l’indifférence, mais il ne me lâchai pas. Il se bornait à me répéter ; « Où es Mia, c'est tout ce que je demande.

     

    Et moi je lui souriais, malgré la douleur qui devenais de plus en plus grande. Puis, je sentie une vrai, une atroce douleur m'envaillie. Je pousse un cri perçant malgré moi, et cette fois, je regardais mon corps mutilé, déchiqueté, irrécupérable, et une douleur que je ne pouvais chasser.

     

    « Je ne sais pas, par ce que je suis déjà morte une fois. J'ai tout oubliée.

     

    L'homme éclata de rire. Un rire mauvais, presque heureux. C'était un malade. Je vais te ramener dans ta suite, mais je te préviens, demain je ne serais pas aussi tondre. Je fis une grimace méprisante mais ils ne m'ont tint pas rigueur. Il détacha les songles qui me retenais à la chaise, fis lever, puis m'emmenait dans la cellule. Avant de partir il agouta ;

     

    « J'ai d'autre « clients » ce soir, alors ne t'inquiète pas pour les cries.

     

    Et il fermait à clée.

     

     

     

    Cette nuit fût horrible. J'entendis le crie de douleur de ses victimes. Je me bouchais les oreilles à m'en percer les tympans. Je ne pouvais faire autre chose que d'imaginer la souffrance des personnes qui sont passé dans cette piéce, quelle genre de torture on a utilisé sur eux, au bout de combien de temps sont ils mort- parce que je ne me fais pas d’espoir, quand j’avouerais, ils me tueront, ou pire.

     

     

     

    Cette fois-ci je décidais de m’assommer pour m'endormir, je n'avais pas pue dormir depuis une semaine, jour pour jour. Mon corps était déchiqueté et je ne ressentais la douleur rarement. Il finirais par ce lasser. Je pris de l'élan mais mon instinct de survie me dis de freiner. Je freinais. Je recommençais, mais je résistais contre mon instinct, mais ce ne fût pas suffisant. Je répétais le mouvement, mais cette fois, j'y parvins. Je me voiais quitter mon corps. Du sang fraît sur les murs. Cela n'avait pas fait beaucoup de bruit, mais asser pour alerter les gardes. Ils entrèrent, arme au point. Il découvrir mon corps et ils eurent au les corps. Leur yeux ce promenaient de blessure en blessure, puis vers le mur ensanglanté. Ils prirent mon corps, non sans un certain dégoût, et m’emmenèrent dans le couloir. Je découvris des mur blanc, avec quelque imperfection par-ci par-là, comme mes gouttes de sangs. Il ouvrir une pièce où ce trouvait... un incinérateur !! même une fois dehors, je ne pourrais plus récupérer mon corps si il est brûlé. Il ouvre le fourneau. Je me glisse dans mon corps. Il allume les flammes. J'essaye de retrouver comment respirer. Il hisse mon corps. Je parle.

     

    Les deux hommes s'arrêtèrent nette. Je leur dis « bonjour » mais ils ne réagirent pas. « Qu'y a t'il ?

     

    Les deux hommes se regardèrent, puis me regardèrent- c'était presque comic. Je vis le reflets de mon visage et je découvris de grosses croûte de sang partout sur mon visage. Je compris pourquoi ils étaient si étonnée.

     

    « Que voulez-vous, je suis invincible, je suis déjà morte.

     

    Les hommes reprirent leurs sérieux, chuchotèrent quelque chose et en m'emportai. Cette fois si en me changeais de chambre ; il y avait du tissus rembourrer du sol au plafond, et en me rajoutai une jolie veste blanche d'un style que je n'avais jamais vue.

     

    Je me sentais légère, je jouais au trampoline contre les murs, sur le plafon, même sur le sol. Un vieille homme entrait et il s'approchait. Non, lui il n'avait pas l'air sympa, et je le lui dis.

     

    « Ah ah ah ah !, l'homme éclata de rire, un peu forcé. Alors tu es numéro 3983 ? Intéressant. Quelle genre de choc à tu reçus ? Torture bien sur mais quelle genre ?

     

    « Je me suis tapée la tête avec le mur, dis-je comme une petite fille.

     

    « Ho ! Quelle « genre » de mur ?

     

    « Celui de ma prison.

     

    « Ho ! Ok... mis ce n'est pas une prison tu sais , mentit-il.

     

    « Oui. Et y a des messieurs qui voulait me faire mal, mais j'ai pas eu trop mal. Je suis déjà morte vous voyez, je crois que c'est pour ça que j'ai pas eu mal ! Mais j'ai vue aussi un mort. Vous voulez aussi me tuer ? Dis-je d'un air inosscent, sans simuler.

     

    « Heu... N... Non, poursuit-il en reprenant son sang froid. Vous avez reçu un coup à la tête, mais vous pouvez comprendre que vous êtes une traître ?

     

    « Non.

     

    « Une traître, c'est à dire quelqu'un qui a traille ses amies, son clan.

     

    « Oui je sais, mais je ne vous ai pas traille comme tu dis, je me rappelle plus de rien. J'ai tout oublier en un ans.

     

    « Mais vous n'avez pas montrer de signe de vie que pendant un mois.

     

    « Oui, mais comme je vous l'ai dis, je suis morte depuis un ans, et après en ma laisser une « nouvelle chance ». C'est ce que ma dis le super beau mec qui est au fait un ange gardien et qui habitais chez moi dans le passé, enfin le présent actuel, et qui est mon petit ami. Moi j'en sais rien mais lui il dit que je suis amoureuse de lui, alors que je le trouve beau mais je lui parle pas alors forcement c'est bizarre de dire ça, surtout si je ne l'ai vue que deux fois. Et aussi je me suis vue..., le psy me coupe la parole.

     

    « Je vois, alors comme ça vous... êtes mort? Dit-il dubitatif.

     

    « Ouais.

     

    « Et vous avez tout oubliée...

     

    « Ouais.

     

    « Et vous êtes sur d'avoir tout oubliée ?

     

    « Tout. Enfin, jusqu'au événement d'il y a un mois bien sur. Le jour de ma renaissance !! Dis-je avec un grand sourire.

     

    « Oui. C'est clair, répond-t-il pas du tout convaincue. Vous savez ce que je pense ?

     

    Je m'apprêtais a répondre quand il continue.

     

    « Vous faite semblant d'être folle, alors que vous ne l'êtes pas, et ainsi vous espérée que l'on vous relâche... alors que vous avez tuée ma... femme.

     

    Son visage était remplie de dégoût.

     

    « Vous l'avez tuée puis enterrer quelque part, où personne ne va jamais. Vous l'avez tuée !! Vous êtes un monstre, un monstre !! Dommage que vous n'êtes pas morte pour de vrai !!

     

    J'éclate en sanglot. Le grade qui surveillais entre.

     

    « C'est l'heur.

     

    Et ils partirent son fermer derrière eu. Savaient-ils que je n'allais pas partir où était-ce un piège ? Une négligence ? On tout cas j'avais vraiment régressée après ce coup, et je prenais tout comme une enfant de quatre ans. Je ne m'échappais pas.

     

     

     

    « Bonjour Mélanie.

     

    Depuis trois jour j'avais un nouveau psy.

     

    « Bonjour. Combien de jour je suis restée dans ma chambre ?

     

    « Depuis dix-sept jours.

     

    « J'aimerais bien revoir le mannequin.

     

    « Ho ! S'exclame t-il avec un faux étonnement. Et bien nous savons que vous faite semblant d'être folle, alors vous pouvez dire que vous voulez voir votre petit ami.

     

    « Je suis pas folle ! M'écriais-je indignée.

     

    « Ecouter moi. Vous allez me dire comment vous avez tuée Sam- la femme qui avait prie rendez-vous avec moi-, et où vous l'avez enterrer ?

     

    « Je ne peux pas l'avoir enterrer. Je n'ai pas de voiture et je ne suis pas assez musclée pour soulever un vieille- j'étais passer d'enfant de quatre ans à ado rebelle, c'est pas du tout ridicule quand tu as 23 ans. Je veux que vous arrêtée de me mettre ce manteau, il est trop moche !! Vous avez aucun goût sérieux !!

     

    « Dis moi, pourquoi tu ne me dis pas la vérité. Tu es la dernière personne à avoir contacter Sam, alors parle !

     

    « Tu me soûle, je ne l'ai pas tuer.

     

    « Bon, écoute moi. C'est ta dernière chance. Elle est où ? Dit il en secouant son arme sous mon nez. Elle est où ?! Hurla-t-il. Parle sinon je te flingue !!

     

    C'est à ce moment que je reprend mes esprit. J'ai à nouveau 23 ans.

     

    « Et merde ! T'est con ou t'es con ! C'est pas moi l'assassin !! Écouter ce que je lui est dit le jour ou je l'ai contactée cette « Sam » !!

     

    Je me lève brusquement et j'ai les jambes qui ne tiennent plus. Des points noir voile ma vue, puis,plus rien.

     

    «C'était ta dernière chance !

     

    Puis j'entendis un coup de feu.

     

    -ch.4

     

    Ma tête me faisais mal, c'était atroce. Une voix m’appelais.

     

    « C'est bon, tu es toujours vivante. Ouvre les yeux au moins.

     

    J'ouvre un œil, déconcertée.

     

    « bande de connard, je vais tous vous butée.

     

    Sam fit un grand sourire joyeux.

     

    « Mec, il a fait semblent de me tuer ! C'est quoi cette merde !! Hurlais-je.

     

    « Calme ma chou, tu es vivante, tue à passer le test...

     

    Je ne la laisse pas continuer, je lui saute dessus et lui assène des petites gifles.

     

     

     

    Un, deux, trois, quatre... Je me réveille. Je me souviens maintenant que j'étais une femme de caractère, forte et que je connaissais cette Sam. Tout m'était revenue.

     

    « C'est bon, ce n'est qu'une balle à blanc. Je suis encore vivante, comme lorsque vous m'avez fait passer le test, hein ? Quelle connard, vous acharner sur une seul personne et la réduire en l'état de cadavre vivant. Vous avez pas d'autre preuve ? Je l'ai appelée, elle a répondue, on avait rendez-vous, elle a disparue, et c'est sur moi que ça tombe ! Et en plus, je n'ai pas mangée depuis 5 jours, c'est ça ? Vous voulez me faire avouer?! Mais je vais tout vous dire ;

     

    Elle c'est cassée ! Je suis amnésique, je ne me souvenais même plus de qui elle était, je sais juste que c'était ma meilleur amie.

     

    Les autres me regardais, calme, puis, tout devint noir, et je m'endormis, manque de nourriture.

     

     

     

    Je me réveille et je vis un garde, devant moi, dans la cellule. Cette fois, il m'avait mis dans une cellule pour gens normaux.

     

    « Salut, je me souviens de toi ; on a fait une opération ensemble. Je ne sais plus ce que l'on devait faire cela dit.

     

    Le soldat ne tint pas compte de ma remarque, et m'ordonna de le suivre. Je me levais, non sans réticence. Mon corps était en pleine crise ; et voilà que ça manque de sommeil, et voici que je manque de nourriture...

     

    Nous nous arrêtâmes devant une grande porte qui s’ouvrit en un grincement aiguë.

     

    Le garde ce plia en deux et formula une formule de politesse. Moi, je ne fis rien. Je le scrutais. Non, je scrutais les grappes de raisins qui s'échappaient du bol, trop remplie. Sans demander à qui compte la permission, je me jette dans la pièce et je mange une grande bouchée de raisins.

     

    « Bonjour ! Dit le propriétaire des raisins, sévèrement. Je n'ai pas demandé de goûteur, je ne suis pas césar !

     

    Il pouffa de sa blague mais devint écarlate quand il vit nos mine blasés.

     

    « Bref. Sais-tu pourquoi je t'ai convoqué ? Demande-t-il en me regardant.

     

    « Oui, pour me tuer ?

     

    C'était le plus probable. Car après tout, je n'avais pas avouée. Par ce qu'il n'y avait rien à avouer.

     

    « Oui et non. Je vous propose un marché ; sois vous me dites ou est sont corps avant demain matin, et vous avez la vie sauve, sois je vous tue tout en douceur.

     

    Son visage s’élargit en une grimace. Aussi appelé sourire.

     

    « Je vais y réfléchir, dis-je avec un air faussement calme.

     

     

     

    Je marchais d'une part et d'autre de ma petite cellule, je ne trouvais pas de solution, de diversion, de quoi me faire gagner une journée au moins !! Le désespoir me submergea, plus grand et présent que jamais. J'étais comme Jane d'Arc, mis au feu pour rien... pour sa nature... pour sa culture. Sauf que moi je n'est rien, sauf quelque jours dans j'ai perdue le compte.

     

    « Non ! Je ne vais pas mourir ! Jamais ! Vous m'entendez ? J-A-M-A-I-S !!

     

     

     

    J'avais gueulée tout la nuit et ma voix n'était plus qu'un son ridicule et roque. Je n'avais pas réfléchie, juste priée -peu être que c'était la seul chose à faire, Sauver mon âme. La porte s'ouvrit, et un garde me tirai du sol et me levai son qu'il fît un effort apparent.

     

    « Coucou, tu dois être fatiguée, tu n'as pas pu dormir avec tout ce que j'ai pu crier, hein ? Dis-je avec le peu de voix qu'il me restais, et je souris, ce qui ne parue pas déstabiliser le garde qui savais sûrement le sort que l'on m'avait réservée.

     

    « Tu sais..., commença-t-il... je te connaissais avant que tu arrive ici. Ça me fait de la peine de te voir comme ça...

     

    Je lui coupais la parole et soupirais un coup. Il continua sans se soucier de ma lassitude.

     

    « ...mai je connaissais aussi Sam, et je sais qu'entre toi et elle c'était carrément fusionnel. Et après tu as perdue la mémoire. Et je veux que tu sache que je te crois moi, et que je sais que tu ne l'as pas tué.

     

    « Merci vieux, ça me réconforte trop. Je peux mourir en paix maintenant, raillais-je, septique.

     

    Il tourna dans un couloir que j'avais vue une fois pendant que l'on m'amenais à ma chambre, tapissé de tissue blanc cassé. Tout à coup, une douleur horrible envaillie ma tête. Je m’accroupie à terre. Je pris ma tête entre mes mains, et ne découvris aucune blessure, même pas une bosse. Une voix lointaine m’appelais, mais je ne l'écoutais pas. On essaya de me remettre sur pied mais la douleur était si grande que je ne pouvais bouger un muscle. Mes ongles s’enfoncèrent dans la chaire de mon crâne et je poussai un crie perçant avant de tomber, inconsciente, sur le sol.

     

     

     

    Une ombre noir apparue. Elle me parlai :

     

    « Mélanie !! Mélanie !! Tu es toujours vivante alors lève toi !

     

    La douleur avait disparue, remplacer par un sentiment d’angoisse.

     

    « Tu vas bientôt mourir alors je me suis dis qu'un coup de main ne te dérangerais pas. J'ai quelque infos très croustillante à te dévoiler sur ton passé.

     

    L'ombre souris. Je me levai mais ne pu distinguer qu'une silhouette noir emmitoufler dans un large manteau. J'essayais de parlais n'y parvins pas.

     

    « Ho ! Je ne te l'ai pas dis ? Je n'aime pas les gens qui parle trop, alors tu ne peux pas bouger. Tu te demande comment j'ai pue faire ce miracle ? Il marqua un temps d'arrêt comme si il espérait que je lui réponde. Ce fut aussi simple que de te forcer à mourir. Mais je n'ai pas eu de chance, Luc t'aimait trop, et il a tout fait pour te ramener à la vie, et il a réussie. Mais bon, c'est vrai que je commençais à m’ennuyer de toi, alors si tu meurs encore il faudra tout recommencer, et ce serait très ennuyeux, surtout que j'ai besoin d'un coup de main, et tu es la seul à pouvoir m'aider. Alors écoute bien, car tout ce que je vais te dire maintenant, vont t'aider à survivre.

     

     

     

    Je me réveillais et mon crâne me fis toujours aussi mal. D'autre garde avaient rapliqués pour me déplacer. Je poussais un gémissement à fondre l'âme et la douleur disparue. Je me remis debout et regarda le garde qui était venue me chercher et lui fis signe que tout allais bien et que je pouvais marcher seul, et il ordonna au autre de partir. Je me souvins de ce que m'avais dis l'étrange silhouette, et commençais mon discours.

     

    «Peter... Il se reconnue et tourna son visage en ma direction. je... tu sais que... je me souviens de toi ? Il s'était arrêté et me lançais un regard instant, je poursuivie. Je voulais juste savoir si toi tu m'aime...

     

    Le dénommer Peter rougie, approcha son visage du miens et me glissai un « Je t'aime ! » si s'insère que j’eus honte de m'être servie de lui, même si c'était pour ma survie.

     

    « N-non... Il détourna les yeux, et me releva. Je t'aime bien, mais tu m'as déjà repousser ,– il continua plus bas – mais je vais quand même te sauver, même si tu ne m'avais pas dis ça.

     

    Je m'énervai ; cette ombre, cette étranger, a t-il fait ça pour me ridiculiser ? Je le jure sur la terre, la prochaine fois que je le voie, je le tue !! Mon sentiment d'angoisse s'évapora.

     

    « Quelle est le plan ?

     

    « Je t'amène à la sortie, et on s'enfuie.

     

    « Super plan !! m'énervai-je. Et on va finir fusillés par tout les gardes ?

     

    « Nous n'avons pa de garde, c'est juste du bleuf, ces cellules ne sont pas la pour rien ! A tu croisée beaucoup de monde depuis tes nombreux aller retour ? Non ! Nous sommes en sous-effectif et nous sommes une association secrète. Super discret des coups de feu venant d'une petite usines de vêtement, raillait-il.

     

    Il s'arrêta devant une lourde porte de métal, pris une clé, enleva sont uniforme et déverouilla celle-ci. Il me poussa dedans et deux personnes vinrent me chercher. Autour de moi, vision d'horreur ; des corps de toutes tailles et de toutes âges étaient empiler.

     

    J'entendis:

     

    « Pardonne moi, mais je t'ai évitée bien des douleurs. Désolé, mais c'est fini.

     

    Je fus propulsée au travers de la pièce et heurta un homme peu robuste. Il tomba avec moi et la porte, juste derrière, ce fermit en un claquement sourd. De grande main me relevèrent, grande et robuste. La personne sur lequel j'étais tomber était le docteur, qui me regardait comme si j'étais une petite bête étrange. J'essayais d'échapper a l'entreinte de mon bourreau, mais en vins, ses mains refermée telle des pince sur mes épaules. La peur était tellement forte que je ne pensais même pas a la trahison de mon ami, ou encore a la torture que j'ai dû subir a plusieurs reprise. Le docteur s'approcha, pas a pas, longtement. Je ne compris que plus tard pourquoi ; je devais être bien sale apprait t'en de douche manquer. D’ailleurs, combien de douche avais-je manquer ? J'avais complètement perdue les notion du temps.

     

    Le garde avait déjà libérer mes épaule sans que je m'en appersoive, et ne manqua pas de me rappeler a l'ordre.

     

    « Avance !

     

    Je n'allais certainement pas lui obéir !! Il rêvait, je n'allais pas obéire pour que l'on m'exécute ! Si j’avançais, je signais mon arrêt de mort.

     

    Il s'approcha me gifla violemment, et je tombais au sol. Sans me laisser le temps de me relever, il m’assit de force sur une chaise. J'étais a moitier assomer et ne comprenais pas ce qu'il me disait, mais je m'en foutais, tout ce qu'il comptais c'était de partir, de m'enfuir, quitte a en crever. Je repensa a Luc, a tout ce qu'il avait fais pour moi, et a tout ce que je n'avais pas fais. Un second coup. Cette fois je ne tombais pas que grâce a des chaînes qui me retenais. Mais peu importe la douleur, je pensais a ma renaissance, le jour fatale ou je trouvie ce numéro, et... et... Ce coup fut si violent que je m'éfondrie, inerte.

     

     

     

    « Pffff !! Tu n'ai vraiment pas très résistante !! railla une ombre. Même pas fichue de résister a une petite giffle ou deux ! Pourquoi je t'ai choisie toi...

     

    J'essayai de poser une question, mais mes cordes vocale ne marchais pas. J’étais au paradis... et il m'avait choisie ? Pourquoi... et surtout « Pour quoi ! » !

     

    « Inutile de parler, je n'ai pas envie d'entendre tes jérémiade, tu m'as déjà assez déçus ! Mais je vais quand même t'aider, mais avant, sache quelque chose. Déjà, je croyais vraiment que le mec allais mordre a l’hameçon, mais bon, je savais pas que tu l'avais éconduit ! Ça me fais bien marrer !! Toi ? Convoité par plusieurs hommes ? Vue comme tu es, je parie que tu les as empoissonner pour qu'il te plaise !!

     

    Il se fondais bien la poire cette merde, mais je n'allais pas tarder a lui rendre la pareille, mais avant, je devais savoir si j'étais en vie... et si j'étais vraiment si moche. Ça allais ! Ma grande tête était tacheter de tache de rousseur et j'avais les tiffes noir ! Rien a rajouter ! J'étais déjà svelte, mais avec mon séjour en prison, je pense avoir bien maigrie ! Et puis mince ! J'étais peu être sur le point de mourir-ou déjà morte-, mais je n'avais pas avoir a subir les moquerie d'une ombre noir, toute conne, qui savais parler! Il continua ;

     

    « Tu sais ? Non. Question bête, tu ne le savais m^me pas avant de mourir, alors c'est clair que tu ne le sais pas encore, mais pour moi tu es semblable a une bombe a retardement ! Au moindre faux pas, tu explose, tu meurs, et ce sera pas seulement toi qui en pâtira, m-mais... m-ais seul-seulem... seulement....

     

    La lumière s’éteigne, sans que j'entende la fin de sa phrase. Quelle était les gens qui souffrirais si jamais je mourrai ? Aucune idée. Et je sombra.

     

     

     

    « Tu dois franchement les aimer, les cadavres, pour dormir dessus !! Pouffa une voix grave.

     

    Non mais quelle connard ! Il ce moque de moi, il prend du plaisir a faire souffrir ses proie ? Ça l'amuse ? Ça l’excite cette merde !! Je tournais ma tête endolorie. D'une main, il me remis sur pied-avec la chaise. J'avais atterrie sur un cadavre en état de décomposition avancer. En besant les yeux, je découvrit un reste d’œil et une matière poisseuse me collais a la peau.

     

    « Sa suffis, écouter moi. Ordonnais-je, soudain sérieuse. Je vais vais dire une infos précieuse, a condition que l'on me relâche, et aussi d'une toute petite réponse a ma question ; avez vous d'autre suspect dans l'affaire de la disparition de Sam.

     

    Je me sentais tout a coup très calme, comme si j'avais l'aide d'une personne au cieux, mais dieu ne ce dérangerais pas pour une hâtée pervertie de vengeance et de rébellion.

     

    « D'abord dit nous cette si importante requette, et je tiendrais ma promesse. Répond-t-il, un sourire sadique au lèvres.

     

    « Vous vous foutez de ma gueule j'espère ? dis je en me penchant un maximum, ce que me permettais mes chaînes. Vous allez me tuée de toutes façon. Vous n'allez pas me relâcher, et encore moins arrêter de me tourmenter, par ce que ce donc vous avez m'avez accuser, je ne l'ai pas fais, et vous le savez plus que tout les mondes. Vous êtes là pour me tuer ! Coûte que coûte, et la seul raison de mon exécution en douceur, c'est que ça vous fait plaisir, tellement plaisir de voire des gens démunie, impuissant devant vous. Ça vous excite de voir un petit corps recroiser sur lui même, achever par la souffrance, et plus que tout, ce qui me dégoûté le plus, c’est que vous êtes la soie disant par ce que « C'est votre travaille » ! Vous allez me réduire en poussière pour une seul vrai raison, si je vis, tout va être perturber, par ce que je suis déjà morte, et considérer comme morte. Et je vais vous dire une chose ; votre Sam, elle va très bien !

     

    Il resta bouche B, et son visage s’empourpra.

     

    « Tu as bien raison, la seul raison pour laquelle tu vas mourir, c'est que je veux m'amuser.

     

    « Croyez moi, vous perdrez tout en me détruisant, bien plus que vous ne le penser.

     

    « Oui oui, et en m'insultant, vous aggravez votre cas jeune fille. Tu vois ses outils, dit-il en montrant du dois ses joujou de torture, tu sais que je pourrais te crever les yeux un par un, te découper les doigts, te vider de toute vie en toi, te vider le ventre et de t’arracher les tripes une a une !

     

    « Et vous ne le ferez pas.

     

    « Et pourquoi en être si sûr ?

     

    « Par ce que j'ai retrouver la mémoire.

     

     

     

    Il tressaille, mais fit comme si de rien était, un sourire crisper au coin.

     

    « Et tu crois vraiment que je vais avaler le fait que tu avais perdue la mémoire ! Répond t-il, crispé.

     

    « Oui, je me l'imagine très bien.

     

    Mon angoisse c'était envoler, et dans mes yeux brillais une étincelle de défie.

     

    « Ah toi de choisir. Ta mort, ou ton exécution.

     

    Oui, cette fois j'étais sûr de moi. Mon cerveau ne me jouais pas de tour ! Il fallait qu'il ne me joue pas de tour ! J'étais sur le point de jouer ma dernière carte. Si ça ne marche pas, prochaine étape... la morgue.

     

    « Tu voudrais me tuer, frêle comme tu es ? Ne me fais pas rire !

     

    Il éclata d'un long et ennuyeux rire forcé, qui suivais de nombreux postillons. Berk !!

     

    Je ne m'étais pas tromper, je pouvais encore posséder la force que j'avais eu il y a très longtemps, vers les deux ans au par avant ! Enfin, d'après moi !

     

    « écoute moi, je te laisse 5 minutes pour appeler ton chef, je veux lui parler. Lui ordonnais-je.

     

    Il n'eut pas pris longtemps pour pesée le pour ou le contre, il fila, comme je le pensais, dès qu'il en eut l'occasion. Je souris, d'un sourire soulager, presque irréelle dans de telle circonstance. Ce n'était pas moi ! Je ne pouvais pas sourire a l'idée de faire mal au gens. Pourtant, ce sourire venait du fond du cœur, comme jamais je ne l'avais ressentie ! Cette bravoure, ce soulagement ! Tout était a mon goût, et encore plus de pouvoir tenir entre mes mains le responsable de tout mes malheurs. Je me faisais peur.

     

     

     

    Tout un coup, je me souvint que le docteur était là, je compris mieux la source de sa peur. Moi. Lui aussi, en lui avait tout raconté, et lui aussi, il savait que si je retrouvais la mémoire, s'en était fini de lui.

     

    Je tirais sur les chaînes a m'on lassérer les poignets. J'avais mal, mais c'était comme si j'étais a des millions de kilomètre de cette douleur, surtout si elle m'aidais a me sauver ! Je tirais et un « CRAC !! » morbide s'échappa de ma droite. Je tourna violemment la tête, comme si on était sur le point de m'attaquer ! Le docteur reculait à tatent, obnubiler par la sortie. Si bien qu'il ne se rendis pas compte qu'il s'était ramasser sur un corps de femme, et celle du rest ede son nouveau née. Un « Crac !! » D'autant moins sordide s'échappa de me chaîne, briser. Je me demandais pourquoi ne pas l'avoir fait plus tôt, pourquoi ne pas avoir ne serais-ce que d'essayer ! Mais je ne pouvais pas, avant, je n'était qu'une humaine, maintenant, un être sans importance, son aucune valeur, et c'est bien pour cela que je devais être tuée, et pourquoi pas s'amuser un moment avec moi avant de me tuer ? Après tout ça n'allais rien changer, j'avais perdue la mémoire, et on m'avait déjà conçue un décor rien que pour moi ! Trop d'honneur ! Je n'allais quand même pas ne pas en profiter ! Je souris, regarda le docteur, et un éluent de sadisme doux et angoissant en même temps me convint a me diriger vers lui. Une partie de moi me criais de ne pas y aller, de ne pas faire ce que j'étais sur le point de faire, et l'autre prenais un malin plaisir a l'idée de faire du mal. C'est comme quand vous regarder un film d'horreur ; une partie qui t’amène a te cacher quand une scène deviens trop gore pour ton petit cœur, et l'autre qui éprouve une grande fierté a regarder par dessus le coussin. Tu te dis que tu es courageuse, et du coup, tu continue, mais c'est que après que t'as vraiment peur. Et pour moi, c'était pareille. Exactement. Sauf que c'est sur une vrai personne, et pas des effets spéciaux a deux balle ! Je devais la faire ! Me venger ! Ça se justifie, il ma enfermer, et m'a empoissonner pour que j'aie l'air d'une folle. J'étais revenue comme dans mon enfance, et j'avais souffert tout autant. Il avait jouer avec moi comme un chat et une souris ! Et maintenant c'était a moi. Je devais me trouver une excuse, par ce que la par lache de moi ne voulais pas faire souffrir cette homme. Mais il ce trouvait beau et fort, lui, derrière son garde du corps, et il ne montrais aucune émotion qui ressemblait a du repentir, que son corps en alèrte qui essayais désespérément de partir de cette pièce, pourtant clos a double tour. Ce docteur m'avais vue souffir et il n'avais rien fais pour changer ça, même pas me tuer ! Même pas m'acever, comme en achèverais un cheval a la pâtte cassée ! Ça me dégoute ! Et c'était a son tour de se dégoûter, quand il irra rejoindre l'enfer. Car même pour les pieux, l'enfer leur est réserver. Je m'approche, pas a pas, un a un, de quoi lui donner le temps de s'enfuire, comme une souris. Cette fois je serais le chat !

     

    Il c'était finalement lever. Il avait été comme paraliser un instant, surement par la peur. J'allais lui laisser le temps. Le temps de s'enfuire, le temps de pleurer, de suplier, et de souffrir, et un jour mourrir. Un immande sourire apparue sur mes lèvres. Je devais me métriser ! Cette homme n'a pas vue ma souffrance, il n'a pas vue tout ce que j'ai endurer ! D'ailleurs, les cadavres que j'écrabouille sont des personne qui sont morte de maladie, ou de vieillesse, mais certainement pas en étent mutiler, batue, humilier, puis mort de leur blessure, mentale et phisyque. Et le gentille docteur aurais essayer de les suver, tous, et qu'il n'as pas pue tous les sauver. Mais je ne pouvais nier la vériter. Il connaissais le destin de ses patient, et il était la pour la déco, telle une postiche. Mais cette fois il allais faire partie de la déco. En tout cas le temps que la femme de ménage vienne nettoyer. Mais j'avais le curieux présentiement qu'elle n'était pas passer depuis longtemps, et j'ai le présentiment qu'elle n'allais pas passer tout de si tôt.

     


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  • Commentaires

    1
    Jeudi 11 Septembre 2014 à 20:22

    voilà ma petite histoire un peu dramatique que je comence et espère finir !!

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